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Portrait de la Vice-présidence au Développement de carrière

Auteur·e·s

Thomas Doré

Publié le :

16 mars 2021

Chaque année, Le Pigeon Dissident rencontre les candidat·e·s qui se présentent aux élections de l'AED pour  centraliser les informations et afin que vous, étudiant·e·s en droit, puissiez en connaître davantage sur leurs plus récent·e·s ami·e·s Facebook. Cette année ne fait pas exception à la règle. Pour le portrait d’aujourd’hui, découvrez Florence Tardif, candidate à la vice-présidence au développement de carrière.


Le Pigeon Dissident : Parle-moi de toi. À quoi ressemble ton parcours scolaire ? Qu'en est-il de tes implications ? Quels sont tes intérêts et loisirs ?


Florence Tardif : Je suis étudiante en deuxième année. Je viens directement du cégep. Je suis une fille de la Rive-Sud, j’étais au cégep Champlain, à Saint-Lambert. Quand j’étais au secondaire, je faisais beaucoup de sport, j’étais dans l’équipe de cheerleading. Quand je suis arrivé au cégep, j’ai lâché le sport et j’ai plutôt tenté de m’impliquer dans la vie étudiante. Je suis devenue tutrice, et j’ai fait partie de l’association étudiante en deuxième année. Durant ma première année à la Faculté, je me suis impliquée dans les événements des comités et tous ceux de la Faculté. Dès que j’ai pu, j’ai joint deux comités, soit le CDAG et le Comité Droit autochtone. J’ai adoré ces comités, et ça m’a donné envie d’en faire encore plus.


Pigeon Dissident : Pourquoi as-tu choisi de poursuivre des études en droit?


Florence Tardif : Depuis que je suis toute jeune, j’ai toujours dit que je voulais devenir avocate. Je ne connaissais pas vraiment ça, je n’avais pas d’avocat dans ma famille. Ça n’a jamais changé depuis! Aujourd’hui, j’aime le droit parce que je suis curieuse, que j’aime travailler en équipe et, surtout, que ça me permet d’entrer en contact avec les gens de la communauté. Ce sont ces trois aspects qui ont fait en sorte que le droit est le bon choix pour moi.

C’est l’une de mes missions que de préparer les étudiant·e·s pour que ces dernier·ère·s arrivent au Barreau en confiance, que ce soit avec un guide pour l’inscription ou avec des conférences d’étudiant·e·s ayant fini le Barreau.

Pigeon Dissident : Qu’est-ce qui te motive à postuler pour le poste de la vice-présidence au développement de carrière en particulier ?


Florence Tardif : Cette année, j’ai pris part à la course aux stages. J’ai eu la chance de voir l’excellent travail qui a été fait par Guillaume, qui nous a très bien encadrés. Je me trouvais chanceuse d’avoir eu quelqu’un qui nous a fourni un aussi bon encadrement, et je sentais que c’était donc mon tour de prendre le flambeau. Toutefois, j’ai été choquée de voir des gens pleurer parce qu’ils ne faisaient pas la course aux stages, comme si c’était essentiel de la faire. Ça m’a motivée à changer notre mentalité à la Faculté comme quoi la Course est la seule option. J'aimerais faire découvrir aux étudiant·e·s les nombreux autres stages et carrières possibles.


Pigeon Dissident : Décris-moi trois promesses électorales ainsi que ton plan pour les mettre en œuvre concrètement.


Florence Tardif : D’abord, au niveau de la diversité, j’aimerais montrer aux étudiant·e·s qu’il y a d’autres options de stages, mais aussi de carrières, que ceux de la Course. J’essaierais de mettre plus d’emphase sur les stages au DPCP et au Ministère. J’aimerais également organiser des journées carrières qui touchent des carrières plus atypiques, et ce, en restant à l’écoute des intérêts des gens.


Ensuite, c’est l’une de mes missions que de préparer les étudiant·e·s pour que ces dernier·ère·s arrivent au Barreau en confiance, que ce soit avec un guide pour l’inscription ou avec des conférences d’étudiant·e·s ayant fini le Barreau parce que je pense que c’est une étape très stressante pour les étudiante·s de troisième année.


Enfin, au niveau de la Course aux stages, je compte continuer l’excellent travail accompli cette année, notamment pour ce qui est de la page Facebook. J’aimerais miser sur l’humour pour réduire le stress des étudiant·e·s pour cette compétition malsaine, comme l’a fait Guillaume. J’aimerais également ajouter davantage de conférences avec des étudiant·e·s qui ont eu des stages, et ce, à toutes les étapes du processus. J’aimerais également renouveler le programme de mentorat de façon personnalisée, et m’assurer que chaque étudiant·e qui veut un mentor puisse en avoir un.


Pigeon Dissident : Comment tes forces (et tes faiblesses!) font de toi la personne désignée pour le poste?


Florence Tardif : Je suis organisée, travaillante, à mon affaire et autonome. Le VP Développement de carrière a justement beaucoup d’autonomie dans son poste, et organise par exemple les conférences de son choix, selon ses intérêts. Je pense que je possède toutes les qualités pour mettre à terme mes projets. Je suis également empathique et à l’écoute, je veux écouter la communauté étudiante et voir à ses intérêts. L’écoute et la communication sont également très importantes pour le VP Développement de carrière, car il assure la conciliation avec le CDP. J’ai également de la difficulté à dire non, ça risque donc d’être à l’avantage des étudiant·e·s qui ont des idées et des propositions à me soumettre! Enfin, je suis exigeante avec moi-même, et cela transparaîtra dans la qualité de mon travail.


Pigeon Dissident : Quel est l’article paru dans le journal Le Pigeon Dissident que tu as préféré ?


Florence Tardif : J’ai vraiment aimé deux de vos initiatives pour les femmes. La semaine de l’implication féminine, et plus particulièrement l’entrevue de Moira, présidente du Comité Droit autochtone dont je fais partie, était mon moment préféré. C’est une fille vraiment inspirante qui gagne à se faire connaître. J’ai aussi trouvé que, la semaine dernière, pour la journée de la Femme, l’article sur les décisions historiques sur les droits des femmes était une très belle initiative. Chapeau!

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